Depuis la mise en place des
primes en 1979, le cheptel français a connu une croissance importante
au détriment de l’élevage laitier. Les races Charolaise et Limousine
sont largement en tête, suivies d’une Maine Anjou en déclin et en
attente de labellisation, et talonnées par la Salers, dont la
rusticité constitue le principal atout au niveau mondial. |